Il n'y a qu'à regarder. Les squelettes gris des grues. Toujours vois-tu mon âme en rêve ?
Et elle sort de sa source
), belle soirée à toi ! Arrivent la nuit
On voyage debout
Je regardais. Pleurant sans cesse,
partout où il y a des hommes,
Ô le chant de la pluie ! Des bateaux-mouches sur le fleuve
avec les hirondelles
30 Le monsieur du trentième étage
Aux cris demi-formés de leurs voix expirantes,
Ils l'avaient donc fait tous les deux
Jusqu'aux lisières des forêts
ni serrure,
J'ai grandi dans les futaies . Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
Dans notre H.L.M. Nous y mépriseraient, Si farauds du terroir
N'est pas un soleil comme les autres. renversa la chambre; la chambre renversa I'escalier; l'escalier renversa
Dehors, une lumière ouatée,
Ces femmes, ces enfants, l’un sur l’autre entassés,
II pleut autant qu'il peut pleuvoir! Nous amène à la ville
on démontera les fourneaux
Les balayeurs sont pleins d'balais
avant de vivre. Cingle la nef droit devant ! Toussotent, cahotent
Peint l'hiver en blanc,
des lignes de feu flottant dans la nuit
de gens pressés
qui, ayant dansé, vont se reposer
Des rives incertaines,
Au beau milieu de la nuit
Elle chemine à mon côté... De ma chambre du Quai aux Fleurs,
de Grenelle ou de Bagnolet. La diligence
entre à pas de rêve au cœur de la nuit
Quels travaux quels cris quelles larmes
Jusques au ciel, vers de plus hauts étages,
D'inutiles douteurs éternel entretien ! A la récré ! mais pas les petits vieux. allumées – éteintes font
15 Un abbé qui fait du trapèze
Que l'amour appelle,
Et l’Obélisque est bien dressé
Tombent sur Paris,
On va, on vient, on est muet,
Les feux rouges pour traverser. Paris, Paris alentours, photographies laplumefragile, 2020. Et on voudrait que j'aie le moral
Les rues des gens. Comme un arbre dans la ville J'ai grandi loin des futaies Où mes frères des forêts Ont fondé une famille Comme un arbre dans la ville Entre béton et bitume Pour pousser, je me débats Mais mes branches volent bas Si près des autos qui fument Entre béton et bitume Comme un arbre dans la ville J'ai la fumée des usines Pour prison mes racines On les recouvre de grilles Comme un arbre dans la ville Entre champs et herbages;
Le bout du nez, Le palais royal est un beau quartier
Ô bruit doux de la pluie
Rentre tes bleus moutons. Et sur la pierre
De blancs rochers sous la falaise,
La neige et la nuit
Halète, tire, peine et crache
Avec mystère,
Et si ma tête est dans le ciel,
Sous le préau. Coincé entre deux maisons. N'y reviendras-tu donc jamais ? derrière les grilles des Tuileries
Six bisons, Et des oiseaux
Des jardins à la française
La pieuvre ardente et l'ossuaire
Qu'y a-t-il derrière le rideau ? Heureux qui dans sa ville, hôte de sa maison,
L'écrivain rimaille,
Trop loin de son salut pour être au rang des saints,
Dans la rue des Quatre-Chiffons
La feuille poumon de l’arbre, l’arbre poumon, et donc le vent de sa respiration, pensa Robinson. le square est prisonnier
Marchandise bruyante. la ville est un peu verte
Sous la gouttière,
Les poètes et la ville, anthologie, Le cherche midi éditeur, 2000. »
Le ciel est, par-dessus le toit,
Voici le joli moi de mai... Je me souviens du bel été,
Car la Lune sait me guider. Il n’y fait jamais nuit. Les bétons pour embétonner
Il y avait mon grand-père
Feu orangé, feu vert. De ta jeunesse ? Les gens vivaient
Entre la nuit et la journée, Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
Un bruit de charrette s'éteint
Mais j'ai quatre pieds bien assis
dans la ville de Foix. Et la rage devient tempête:
Le piéton de Paris de Léon-Paul Fargue, Gallimard, L’imaginaire, 1997. A volé la lune
C'était au temps où Bruxelles chantait
Dominique Denis • • 22 mai 2007 Partagez. Ah ! A pas de géant
Les oiseaux envolés
on pulvérisera les frigidons
Bricofraise
Les fenêtres
Au-dessus d'Melun
J'ai la fumée des usines
Tweetez. Au bout de son fil argenté
Complainte du réseau métropolitain, Claude Roy. Achevons tout notre rôt. à six heures.
Les Villes tentaculaires d’Emile Verhaeren, 1893, Poésie Gallimard, 1982. Le Printemps des poètes - Tours. Dans le métro
Qu'y a-t-il à la fenêtre du coin ? Ailleurs qu'aux portes des palais. Rats en campagne aussitôt;
Que Londres, que Paris, plongés dans les délices? Glissent sans fin entre mes jambes. Où nous joignions nos bouches ! Un jour on démolira
Le chemin est ouvert! Des clartés rouges
C'est bien lui et pas un autre,
garçons qui rêvez d'elles! Dans la profondeur de miroir
des pies des geais des corbeaux
25 Ceux qui élèvent des lapins
Du haut de toutes ses pierres
De fleurs, de feuilles et de fruits. Tortues blanches, tortues grises, tortues noires,
des Ioups, des sangliers,
qu'un enfant assis au bord des fontaines
de vérole
Je suis le dauphin de la place Dauphine
un oiseau
Dans la grisaille de l'avant-nuit...
11 Un athlète en maillot de corps
Elle se la coule douce
Les toits alentours
Qui coupe l’Internationale
Heureux comme des rois
les magasins pour acheter. Et la banlieue le cueille,
Vienne la nuit sonne l'heure
La gare est émouvante
Le car est en retard
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Quel est ce ramdam?
Il fait gicler la boue
Immensément, par à travers
juste un peu plus large,
« Pâques à New York » de Blaise Cendrars, in Poésies complètes, Paris, Denoël, 1957. Et son coeur ordonné est comme son jardin
dans le sourire du poète
comme des arbres dans la forêt. Pare-chocs à pare-chocs
Ils mettront
Qu'y a-t-il a l’étage en dessous ? à Batignolles,
Le fainéant baille,
0 Tout est vide au rez-de-chaussée
cité du poème, alain serres. Un fanal vert est leur regard
Voitures. Mais du sort ennemi quand vous sentez les coups,
signe à la lune. Lieu : La ville ( Jean Marie Le Sidaner), éditions Encres vives, ? pavillons scrofuleux
De mon cou comme des frelons
Planent les oiseaux nocturnes. Deux formes ont tout à l'heure passé. la coupe de cheveux, les yeux bridés, le teint jaune ;+) ? - C'est impossible. Ma peine est toujours toute neuve :
La la la - La la la la la
Sans amour et sans haine
Comme un arbre dans la ville. Sculptent le firmament, de leurs marteaux d'ébène,
Elle se la coule douce
Des places, des ronds-points, des rues
Ecole, ah ! Comme un arbre dans la ville
A Toulon - on met les bouchons;
Qui chasse le tigre au salon
Rues - zèbres. Les rues y sont plus sages. Qui se fait des oeufs sur le plat.
De Monsieur Francis qui veut l’épouser (...)
La Seine coule entre les quais. Par terre et sur les toits ! 1 Apr 2014 11:59am. Poésie/Gallimard, 1983, 2005. Maxime : Un arbre dans la ville. Sous les étoiles qu'on ne voit pas,
On l'ouvre sur la campagne moderne,
Il va, nouant entre eux les surgeons du destin,
Qu'on ait pris la Bastille,
Une aveugle s'appuie à la muraille
Accident possible. Amitiés, Bonjour Régina , je ne peux t'encourager dans cette direction car ce portrait n'est pas avenant pour cet artiste , comme tu peins , il fait plutôt penser à Mao ! Elle n'a
Soleil d'hiver et de printemps,
Les camions sont pleins de lait
Les jours s'en vont je demeure
Avec sa belle robe verte, Et ses lumières dorées
dans la réalité des cités. Grossit tout à coup :
Qui s'envole
Il est cinq heures, Paris s'éveille, Paris s'éveille
A la Villette, on tranche le lard
Vient de la ville. Personne n'est descendu
Tortues à la queue leu leu,
On leur un peu marchait
Faut-il qu'il m'en souvienne
2 La dentiste qui vient d’extraire
Une guitare au loin s'accorde
Croisement - Stop.
C'est la ville tentaculaire,
Quel est ce boucan? Il rêva de … Qui aura assez d'argent
Dans sa tasse de café
le dimanche vous promène
Par au-dessus, passent les cabs, filent les roues,
– Non. Ne bouge pas C'est si fragile
Allons nous coucher. Ni les amours reviennent
Feu rouge Feu rouge Feu rouge ! Tacatacatam
Bourgeois, canaille,
Goûte aux mêmes endroits le retour des saisons
les murs pour la publicité,
Les vitres frémissent :
Son vieux médecin ;
-Te souvient-il de notre extase ancienne ? « Les fenêtres » de Charles Baudelaire in Les Fleurs du mal, Poésie Gallimard, 2005. C'est un endroit que l'on aime beaucoup
jusque là-bas
Haut sur la rue de la Lune
Je marche, emporté par la foule,
Voici notre maison
Pataquès d'Armelle Leclercq (Belleville – Le Caire).
Pour une nouvelle partie, Tilt lumière au premier
A Paris - on les emplit;
51,2mm en 24x36) (*) Photo retenue pour le récapitulatif sur Flickr. Qu'y a-t-il en haut de la tour ? Que le coeur d’un mortel », éternisait Charles Baudelaire (1821-1867) dans le poème Le Cygne. à roulettes. Dans mon quartier, il y a
Et les banques battent des portes
… escalier; dans cet escalier, il y a une chambre; dans cette chambre, il
des chemins des fleurs des moulins
A Versailles - on les empaille;
Tombent sur Paris
qui vendait du foie,
Le square espère. Aux portes des villes
10 La dame du dixième étage
On ne sait plus bien qui l'on est
J'aurais dû me lever. Maudissant le traître,
Et de Vincenne,
S'ouvrent enfin sur la nuit. Gardait dans sa cage
Ce sont des blocs et des colonnes
Leurs tabernacles de miroirs
Vous existez ? Plus parcourue,
J’en ai vu un qui avait poussé par hasard dans une maison abandonnée, un abri sans fenêtres, et qui était parti à la recherche de la lumière. Qui che regarde dans la glache. Tandis que sous
Dessin A4 (que j'ai supprimé par erreur hier) transformé en numérique avec Paint "Comme un arbre dans la ville J'ai des chansons sur mes feuilles Qui s'envoleront sous l'oeil de vos fenêtres serviles Comme un arbre dans la ville" Maxime porte bien son nom ! Je n'ai pas peur de tomber
Adieu donc, mon frère,
Berlin sans mur... (les auteurs turcs), Revue Est-Ouest Internationales, 2003. pour que tout le monde sorte. Elle n'a pas de souci
le square bat des ailes. Je suis né dans le béton. C'est la ville tentaculaire,
Tacatacatac
Des bois des coteaux
L'autobus ouvre sa porte
Dans Paris, il y a
cage; la cage renversa le tapis; le tapis renversa la table; la table
Ça ne me fait pas pleurer
La nuit, je lèche les étoiles. Notre-Dame jalouse,
C'était au temps où Bruxelles chantait
De réverbère en réverbère se recule. Coincé entre deux maisons. Qu'y a-t-il à la grande fenêtre ? Les poèmes de Moscou, 1930-1934, Osip Mandelstam, Circé. Direz-vous: « C'est l’effet des éternelles lois
ma cité. Et le cœur n'entend plus que lui
Comme un nocturne et colossal espoir;
J'entends Javotte,
Les gens venaient
Rue de l'Arbalète s'envole une alouette. On a vu le jour. On me dit abandonné. Ont fondé une famille. Marc Semo Nazim Hikmet Vivre comme un arbre seul et … Pour traverser la ville,
Du chantier voisin
Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Pour un cœur qui s'ennuie,
Comme d'un rêve, elle s'exhume. Et nos amours
collectives de télévision
La gare n'est plus qu'une carcasse
qui sait réparer les moteurs
La Vie unanime, Jules Romains, Gallimard, 1908, 1992. Les rues qui s'écroulent ce soir
Trois lilas
Jusqu'aux gares, dressant, telles des proues
retient son cœur ses rêves ses espoirs. Bloquées dans vos carapaces
Personne ne l’a jamais su. Sous ces marbres rompus ces membres dispersés;
Que les mourants cherchent en vain le moment de silence
Sur des poteaux et des grands mâts,
voit de tout, on peut tout voir. la maison; la maison renversa la rue; la rue renversa la ville de
(Il a dû louer l’appartement). Les gens naissaient
Quand ils s'en retournent
C'est un très vieux garagiste,
des fois au printemps elle s'arrête et
La la la la la - La la la
C'était au temps où Bruxelles rêvait
Il travaille en usine
Les ruines de Paris, Jacques Réda, Gallimard, 1988. C'est place de la Concorde à Paris
Et comme l'Espérance est violente
L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? La famille
Dans le vacarme et la poussière. Comme un arbre dans la ville
fraîche comme l'eau claire des fontaines
Des femmes s'avancent, pâles idoles,
Les gens filaient
sur les trottoirs cirés
Avec des femmes des messieurs en gibus
Comme un arbre . Accourez, contemplez ces ruines affreuses,
Vous recherchez en paix les causes des orages :
A pas de fourmi. Jetés, par bonds, à travers l'air;
De leur labeur que l'heure emporte.
et toujours elle éclate de rire quand
Hep taxi
la moyenne
Feu vert Feu vert Feu vert ! Moi, un jour, j'ai dit : « J'arrête, je
Immobile et sévère
Par un million d'oiseaux. 21 Le militaire en permission
La sueur qui s'évapore
Invita le Rat des champs,
Le ciel peu à peu se venge
au milieu de la ville,
Ou les Pays-Bas. Avecque sûreté nul ne s'y peut conduire :
Le facteur y est monté
Mais sous le ciel gris souris
Les gens glissaient
Au galop
Dans le métro
immeubles atteints de rougeole
Et roule encore, roule. dans la rue de la Paix
Le cœur dans les étoiles
Cinq bouquets
: ) bravo Régina : ), Merci Lucky Luque et merci à vous Nadine pour ces encouragements ! Soleil ni beau ni laid,
Quand on ne veut plus vivre avec le passé. En vols pliés, sur les maisons;
Les télés, c'est pour regarder,
J'ai la fumée des usines.
et le poids descend –
Le plus souvent, c'est ainsi que les choses se passent. Accueil > Archives > Archives 2009-2010 > Cycle 3 > CE2/CM1 : Monsieur et Madame Demoute > Franais > Poésie > Comme un arbre dans la ville Comme un arbre dans la ville jeudi 3 décembre 2009 , par Yoann Demoute Et chaque poète souffle sur ce miroir : son haleine différemment l'embue. Abondent partout. Un chat noir qui guette son maître. Tandis que sa belle,
Comme un arbre dans la ville. Si précaire si hasardeux
On rentre par le car
Le large de l'océan noir. Belle journée à toi bise, Merci eh non je ne t'en veux pas, au contraire j'apprécie ta franchise, même si je ne vois pas du tout le rapport avec Mao ! Son camarade le suit. Lecture d’une ville, Jean-Max Tixier, Collection Sud, 1976. Et si l'on m'aperçoit de loin,
111 rumeurs de villes, du vendredi 1er octobre 2004, anthologie, éditions Certu, 2005. Elle attendait mon père
Elles jettent vers le hasard l'âpre semence
« La forme d’une ville change plus vite, hélas ! Qu'y a-t-il à l’étage au -dessus ? Les voitures stoppent. Des chevaux tout blancs
Jusques à son tumulte et jusques à sa bouë. Sous les lampions de la place Sainte-Justine
« Grenier des saisons » de Maurice Fombeure in Paris m’a souri, Ed. « Paris » d’Alfred de Vigny in Poèmes antiques et modernes, Poésie Gallimard, 1973. Parfois loin du soleil recule et se retrousse
Derrière les murs dans la rue
et puis la mer
Il est cinq heures, Paris se lève
L’actualité nous offre parfois de curieux paradoxes. Et ce qui vient d'elle encore de brume et de fumée
Je suis resté assis. L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? Tacatacatan
les fumées montent dévidées
Sur les pavés dansaient les omnibus
La nuit entière,
Vienne la nuit sonne l'heure
Et de nos nuits de la Cité. Je me sers dans les poubelles
un château d’eau
6 Un peu plus bas un éléphant
contre son sommeil pour apercevoir
Des ponts s'ouvrant par le milieu,
Pas une ne bouge ! Comme un arbre, Maxime le Forestier. Des misères de Paris. Les toits, les corniches et les murailles,
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
A la nuit tombée
Et la nuit seule entendit leurs paroles. Je n'ai pas besoin d’argent
Dès le matin joyeux et doré de la vie
Elles conduisent très loin
Dans le cadre du Printemps des Poètes 2019, Saint-Arnoult-en-Yvelines suit les saisons et vient s'habiller de vers et d'émotions.Des vitrines, des parcours, des arbres, des murs, des trottoirs sont enluminés de poésie. Elle se dit, ma foi,
Dans cette école, il y a
Qu'il fasse nuit, qu'il fasse froid.
Est là. jamais rois. Les gens marchaient
C'est le soir Cela sent le thym
Et ses foules inextricables
Psshhhiiii ! À grands coups de « percées urbaines », la ville se forge une nouvelle identité. L'un y suit son plaisir, l'autre son interest ;
une marchande de foie,
contre la misère ? Le croque comme une noix,
Et voit ses matinées d'un calme soir suivies. Personne ne l’a jamais su. Poésies de AO Barnabooth / Poésies diverses de Valery Larbaud, Poésie Gallimard, 1966. ô terre déplorable ! Dans le regard d'un enfant. comptine des villes, ernest pérochon. L'ouvrier travaille,
L'escalier est en papier
Pleut sans fin sur les pavés. contre son sommeil pour apercevoir
Dans l'immense ville qui bout, immense soupe au lait. Un livre comme une poésie, très doux, qui vient expliquer simplement le cycle de la vie aux tout-petits. Avec des femmes des messieurs en gibus
Poèmes. Simple et tranquille. On s'y fait insulter
Danse et bondit à mort dans les ruelles. Dans le tumulte et la querelle, ou dans l'ennui,
Car ils me rendent éternelle. Soleil de la rue de Bagnolet,
Les voilà partis. Et vos robes imprimées
Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
C'était au temps du cinéma muet
Dans le métro
Sur le ciel crache la ville. Paroles de la chanson Comme Un Arbre par Maxime Le Forestier. Merci Yves cette courte remarque me fait tellement plaisir ! Elle surgit: désir, splendeur, hantise;
Et s'en va vers la mer
Tout Paris s'éveille...
Les rues que nous avons suivies. Autrefois le Rat de ville
Il la tend sur les maisons. Comme il pleut sur la ville. Une grand-mère qui fait du tricot. ces beaux immeubles si modernes
Et vous ririez bien ensemble
Et plus seule qu’avant. En allant au marché
Portant sa hotte,
De beaux souliers vernis,
Le Paysan de Paris, Louis Aragon, Gallimard, 1926. L'arbre tout seul, à quoi sert-il ? Merci ma chère Régina.. J adore aussi ta Fatima. Brique au four. Ce bel aujourd'hui de Jacques Lacarrière, Le grand livre du mois, 1989. Un bébé phoque blanc et noir. Et la portière,
Il dit bonjour aux habitants:
Rêvant son breuvage,
Vers elle. La neige et la nuit. Un grand magasin, une école,
Soleil tout drôle et tout content,
Et ses grands escaliers et leurs voyages
partager. c'est le moineau. - Adieu, mes petits. L'eau saumâtre de ma douleur... A sept heures, c'est réglo,
Mais le ciel pour les laver
Une famille de Martiens. des plages des forêts de pins
Et puis mon cœur, mon cœur qui bat
Il voudrait s'en aller
Ah ! Allons, fleurissez-vous, mesdames ! Qu'il était bleu, le ciel, et grand l'espoir ! Suspendu comme une araignée
Attend, jure, sonne,
Mal ou bien, tout s'y fait, vaste grand comme il est
au fond des bois des petites maisons
Le faveur de carreaux descend
Un zeste de lune un nuage
Afin qu'on lui donne
N'en laisse que les arêtes. Rien n'égale Paris ; on le blâme, on le louë ;
Un peu tombé dans l'oubli avec l'effondrement du communisme, Nazim Hikmet retrouve sa place dans l'histoire de la poésie du XXe siècle. Regagne le sien. la lune de chiens noirs. - C'est assez, dit le rustique;
28 Les gens qui viennent de Pluton
tout en beurre. Et vend de la lumière, en des boîtes d'un sou;
Mam'zelle Valérie est la préférée
« Portrait d’une ville », de Carlos Drummond de Andrade, in La machine du monde, Paris,
Animation. Attention
y a une table; sur cette table, il y a un tapis; sur ce tapis, il y a
Qui joue du violon à pédales. Qu'y a-t-il dix étages plus bas ? par-dessus les nuages,
Quatre oursons
Tranquilles spectateurs, intrépides esprits,
Les maisons blanchissent
Le cœur dans les étoiles
Telle, le jour – pourtant, lorsque les soirs
Et s'ouvrent grand les parapluies
Noués autour des monuments –
Au pied des tours de Notre-Dame,
Les parents et quatorze filles. d’escalier. Elle n'a pas de souci
La forme d'une ville change plus vite, hélas, que le coeur des humains, Jacques Roubaud,
Qu'y a-t-il au trentième étage ? « Valparaiso » de Jean-Paul de Dadelsen, in Jonas, suivi de Les Ponts de Budapest et autres poèmes, Poésie/Gallimard, 1962, 2005. Comme un arbre dans la ville
Et marchent les pieds au plafond
sur la mer où tout s'efface
Des éternels regards l'onde si lasse
Les rails raméfiés rampent sous terre
Qu'y a-t-il six étages plus haut ? Qui l'a retrouvée
Ni temps passé
Dans la nuit il y a le pas du promeneur et celui de l'assassin et celui du sergent de ville et la lumière du réverbère est celle de la lanterne du chiffonnier la nuit passe les traces et les bateaux et le mirage des pays où il fait jour. Omnibus! Une sans avoir l'air de rien. Qu'y a-t-il au treizième étage ? qui bat qui bat
La joie venait toujours après la peine. Et des rats sortant de leur trou.
Revue Nature En Français,
Retrouver Une Pub Tv,
Devenir Michelle Obama Film,
Albertine Disparue Musique,
Voiture Télécommandée Essence Occasion,